Adwaa Rights soutient la société civile, aujourd’hui de nouveaux rôles, à l’image, notamment, de celui de la promotion du processus démocratique, à travers cette prise de conscience, cette maturité et également ce redéploiement sur le terrain pour accompagner la confiance citoyenne et préserver ce climat et de conjuguer les efforts entre la société civile, la […]
المساهمة بالاقتراحات و الآراء تنفيذا للتوصيات و محتوى النقاش و الحوار لمخرجات الورشات الوطنية التفاعلية الأولى لجمعية اضواء رايتس سنشرع في بداية الإعداد للبرنامج و مخطط العمل التنفيذي السنوي لهذا نطلب من جميع المنتسبين للجمعية و المشاركين في أشغال الورشات و كل الشركاء من الجمعيات و الأساتذة و الخبراء وكل من له رغبة في التواصل […]
Adwaa rights pour la révision de la loi sur les associations
Pour le président de l’association Adwaa rights, Noureddine Ben Braham, le phénomène de harraga n’est plus restreint aux jeunes chômeurs. Il touche désormais l’ensemble de la société algérienne, chômeurs comme cadres, hommes comme femmes, célibataires comme gens mariés. Insistant sur le rôle de la société civile, il plaide pour la révision de la loi sur les associations. Rym Nasri – Alger (Le Soir) – Noureddine Ben Braham se réjouit de voir le tabou sur le phénomène de l’émigration clandestine, connu sous le nom local de «harga», enfin levé. «Certes, un dossier solide est aujourd’hui auprès des pouvoirs publics, la dynamique a été déclenchée et le tabou a été brisé mais comment trouver les mécanismes nécessaires pour prendre en charge le problème des harragas ? Quelle structure et quelle mesure sont-elles prévues ?», s’est-il interrogé hier, au Forum du quotidien El Moudjahid à Alger. Il appelle ainsi la société civile à s’impliquer dans un «partenariat solide» avec les pouvoirs publics. «Il faut que la société civile ait des réponses à donner à ces jeunes désespérés d’autant plus que le nombre des harragas a augmenté et leur profil a aussi changé. Les candidats à la harga sont aujourd’hui, des familles, des couples, des jeunes filles, des femmes enceintes, …», dit-il. A travers ce partenariat, poursuit-il, la société civile doit se doter d’outils leur permettant de gagner la confiance des jeunes. Pour ce faire, il estime que la révision de la loi sur les associations s’impose. «Il faut réviser la loi sur les associations afin de promouvoir le rôle de la société civile. Il faut libérer ainsi les associations pour qu’elles puissent mettre en place des projets sur le terrain et créer entre autres des postes de travail», dit-il encore. Insistant sur le dialogue à travers notamment la mise en place de conseils de dialogue, sur le travail de proximité et la sensibilisation, ainsi que sur la médiation et l’accompagnement des jeunes, le président de l’association Adwaa rights estime qu’il est temps d’expliquer ce fléau qui ne cesse de prendre de l’ampleur et de trouver par là même des solutions pérennes. D’ailleurs, il n’a pas manqué de souligner que la harga n’est qu’un élément dans l’«hémorragie» que connaît la ressource humaine algérienne. «Est-ce que le marché du travail est aujourd’hui, prêt pour accueillir tous nos diplômés ? Comment sauvegarder notre ressource humaine ?», ne cesse-t-il de s’interroger. L’intervenant a également évoqué le code pénal qui incrimine les harragas et a demandé à plaider pour sa révision. «Au lieu d’opter pour une sanction, il faut plutôt œuvrer pour l’insertion de ces jeunes et leur accompagnement», dit-il. En guise de réponse, le conseiller du ministre de l’Intérieur, chargé d’études et de synthèse autour du phénomène de l’émigration clandestine, Abdelkader Zergh Erras, a assuré que le code pénal vise plutôt à incriminer les passeurs. Affirmant que la question des harragas est étroitement liée au cyberespace, il a estimé qu’il est indispensable d’usiter le même discours et les mêmes réseaux utilisés par les jeunes pour leur faire parvenir le message. Pour lui, le travail de proximité est très important afin de protéger les jeunes de ce fléau et donc de la mort.
l’observatoire algérien pour l’observation des elections
Qui sommes-nous?
L’observatoire
de la société civile pour l’observation des élections a été créé le 11
Février 2012 suite à l’initiative de l’association « Adwaa Rights pour la démocratie et les
droits de l’homme » ainsi que 11
associations algériennes, et est actuellement composé de 25 Associations algériennes
indépendantes, non gouvernementales et à but non lucratif et est répartit
dans plus de 20 wilayas.
L’observatoire
se réfère, pour l’opération d’observation des élections, sur la législation
algérienne et les principes internationaux de l’observation neutre des
associations de la société civile ainsi que le code d’honneur de l’observation
civile et non partisane.
Nos missions
le renforcement
du rôle du citoyen dans le processus électoral,
le respect des
principes des élections libres, transparentes et justes,
l’évaluation du
processus électoral dans toutes ses étapes, ainsi que proposer des recommandations
pour améliorer le processus électoral et
développer les
capacités du citoyen en matière d’observation des élections et les pratiques
démocratiques.
Quoi Observer ?
Le cadre
juridique.
Le
processus d’inscription des électeurs.
Les listes
d’électeurs.
Le
processus d’inscription des candidats.
Campagne
électorale.
Les
médias durant la période électorale.
Le
processus de vote.
Le
décompte des voix et l’annonce des résultats.
Réclamations
Qui Observe ?
L’observateur
est un citoyen bénévole, neutre, n’est membre d’aucun parti politique, et
n’apporte aucun soutien d’une manière directe ou indirecte à un candidat ou à
un parti politique, et a le droit de participer aux élections et vote pour son
choix.
Devenir observateur
L’Observatoire reçoit
les demandes de participation au processus de l’observation, et après choix des
observateurs, ces derniers suivent une formation sur les bases et les principes
de l’observation des élections.